Le Pr Dr ing. Konstantin Meyl
Le Professeur Dr ing. Konstantin Meyl (né en 1952) a étudié dans le détail l’ensemble de l’œuvre de N. Tesla ; digne successeur de son Maître, esprit brillant et tout à la fois expérimentateur d’expérience, Professeur universitaire de physique et d’électronique appliquée (à Furtwangen en forêt noire), il a supposé que le rayonnement découvert par Tesla correspondait aux flux de neutrinos que nous recevons en permanence et en abondance (60 milliards de particules par cm2 de peau et par seconde !) du soleil, des supernovae et des trous noirs, des particules dont la course n’est pas modifiée – ou presque – par la matière.
Grâce à l’électronique moderne, en se basant sur les schémas des brevets de Nikola Tesla, le Pr Meyl a pu reconstruire un petit générateur de ces ondes de nature longitudinale, qu’il a appelé « ondes scalaires », dont les propriétés sont celles décrites par Nikola Tesla et bien plus encore.
Il a démontré que la transmission de l’énergie sans fil par ce type d’ondes était non seulement possible, mais que le rendement de ce transfert d’énergie dans l’espace était bien supérieur à 1 (de 1,5 à 12 !) ! Le Pr Meyl a commercialisé un kit expérimental , dont la taille est réduite et qui peut être contenu dans une simple mallette ; ce set expérimental permet de démontrer l’existence et la transmission d’ondes scalaires – ondes électriques longitudinales - sous une tension très basse de l’ordre de 2 à 20 V (à comparer aux 400 000 V nécessaires autrefois à Nikola Tesla !) ; l’expérience première du Pr Meyl de mise en évidence des ondes scalaires sous de très faibles tensions et de leur transmission sans fil dans l’espace, a été reproduite depuis 15 années des centaines de fois de par le monde, par des laboratoires publics et privés, des universités ou des chercheurs indépendants.
Set expérimental pour
la mise en évidence des ondes scalaires
Nikola Tesla appelait son émetteur d’ondes un « magnifying transmitter » à cause de ce rendement surunitaire : il arrivait de fait plus d’énergie sur son antenne réceptrice que la quantité émise par l’antenne émettrice ? Le Pr Meyl nous explique qu’il ne s’agit pas là d’un « miracle » mais de la récupération de l’environnement proche ou lointain, d’un ensemble d’ondes scalaires harmoniques appartenant au bruit de fond, qui viennent « se greffer » par résonance sur la première onde porteuse créée artificiellement. Ce phénomène augmente donc la quantité d’énergie reçue par rapport à celle qui a été émise : il est typique des ondes longitudinales qui progressent en vortex.