Le SWD
le SWD (Scalar Wave Device ) est destiné à produire un champ d'ondes scalaires sous faible tension de 2 volts.
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Lettre d'informations n°7 : Apport des ondes scalaires dans le traitement des cancers
LE CORPS HOLOGRAMME
// lettre d'information n°7
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Le plan de cette lettre d’information est le suivant : Le cancer en réaction à une carence en électrons et en oxygène Oxyder le cancer, mais réduire et oxygéner les tissus sains Les neutrinos de l’environnement comme source première d’électrons pour le corps
b) Le SWD dans un protocole anti-cancer et anti-infectieux c) Le SWD, comme instrument d’auto-hypnose Synthèse ------------------------
Le cancer en réaction à une carence en électrons et en oxygène des tissus sainsCes 5 années nous ont permis de pouvoir formuler simplement l’origine de tous les cancers, c’est-à-dire de décrire les conditions physiologiques basiques dans lesquelles ils se développent : fondamentalement, il faut et il suffit d’un manque chronique d’oxygène (O2) et d’électrons (e-) dans les tissus. C’est tout ! Très peu d’oxygène, cela signifie que la fonction mitochondriale est loin d’être optimisée et donc que la cellule ne fabrique que peu d’ATP, et l’absence d’électrons est la définition même de l’oxydation, ce qui va de pair avec l’inflammation et la déshydratation (1). Bien sûr, il peut paraître prétentieux d’affirmer que là se trouve l’origine de tous les cancers ? en fait, les stress et les obstacles divers qu’expérimente le patient avant de créer son cancer aboutissent tous à ce défaut d’électrons doublé d’un défaut d’oxygène – au moins local – (voir les travaux du Pr Warburg, double Prix Nobel), ce qui veut dire qu’un cancer est une putréfaction chronique.Les agronomes le savent bien, mais pas encore les médecins : le couple [oxygène + électrons] définit les 4 états, de la croissance différenciée normale à la putréfaction : O2 + e- tous deux ensembles, permettent une croissance différenciée optimale, O2 sans e- amène à une oxydation chronique, à l’inverse un excès de e- sans O2 a pour résultat une fermentation, et l’absence d’O2 et d’e- donne place à une putréfaction ! Ceci est la base de la compréhension de la physiologie des tissus végétaux, mais aussi animaux et humains bien sûr. Concernant le stress, qu’il soit psychique et hautement signifiant pour la personne, qu’un agent infectieux externe ou interne ait pu envahir le corps et submerger ses défenses, et/ou bien qu’un toxique latent (le mercure par ex) bloque la mitochondrie et/ou la perméabilité des membranes, dans chaque cas, le statut biologique final du corps est qu’il devient carencé en électrons (son énergie électrique circulante fondamentale) et à terme en oxygène. Un tissu carencé en oxygène et en électrons se renouvelle moins vite (les ADNs ralentissent voire stoppent leur multiplication en milieu oxydé, c’est-à-dire carencé en électrons) ; si bien que localement un groupe de cellules (plutôt périphériques – 90% des cancers sont des carcinomes atteignant la peau ou les muqueuses -) finit par choisir par compensation la voie anaérobie pour se développer : l’oxygène pour ce groupe de cellules n’est plus nécessaire, la mitochondrie est désamorcée, et pour obtenir son énergie, la cellule cancéreuse va consommer – toutefois à très faible rendement - du glucose par fermentation (2 ATP/glucose versus 36 ATP/glucose par la voie aérobie), en puisant ses électrons et ce glucose dans la matière même du tissu proche (glucides, lipides, protides) qui se désintègre ; ce qui fait que le patient maigrit très vite pour un rendement énergétique qui reste très faible par rapport à ce qu’il connaissait dans son métabolisme normal auparavant. Personnellement, je pense que la somme des multiplications cellulaires ralenties d’un tissu oxydé et hypoxique ajoutée à la somme des multiplications cellulaires de la zone cancéreuse locale, équivaut globalement à la somme des multiplications cellulaires du tissu sain de départ. Le cancer étant donc selon ce concept, un rattrapage global par voie anaérobie de multiplications cellulaires qui ne se font que très mal par voie aérobie ! La création de tissu cancéreux est donc une compensation qu’a trouvée le corps tout entier pour assurer un niveau de multiplication correct selon son plan interne global et son âge. C’est un point crucial : le cancer ne se développe donc non pas tout seul, mais en réaction à une physiologie globale diminuée ; un traitement global doit donc impérativement être ajouté à un traitement local, afin d’éviter une récidive précoce ou tardive.
Oxyder le cancer, mais aussi réduire et oxygéner les tissus sains
Les neutrinos de l’environnement comme source première d’électrons pour le corps
La bonne nouvelle est que nous récupérons en permanence des électrons et de l’oxygène, grâce au flux des neutrinos qui nous traverse continuellement ; son interaction avec l’eau du corps produit justement ou libère ces électrons et cet oxygène. Les problèmes surviennent quand les électrons localement sont sur-consommés (intoxication, infection, stress psy) et que l’oxygène n’arrive plus ou si peu ! (manque d’activité physique, zones cicatricielles, inhibition de la fonction mitochondriale par ingestion de toxiques, etc …). 1 - Comment se recharger en électrons, en plus de cette neutrinolyse qui nous est « donnée » par les neutrinos solaires ? En marchant pieds nus au contact de la terre ou de l’herbe mouillée, en buvant abondamment une eau réductrice (enrichie en H2 et/ou dynamisée voir www.idrogen.fr ), en consommant des jus de légumes fraichement pressés qui sont très réducteurs (donneurs d’électrons), en absorbant régulièrement des produits fermentés, des probiotiques réducteurs diversifiés (laboratoires Nova, voir www.novaprobiotics.com/fr), en respirant proche d’une rivière en mouvement ou du bord de la mer ou encore dans une forêt de sapins en moyenne altitude. Dans toutes ces situations, le corps ne perd pas des électrons, il en gagne … il peut aussi les économiser en prenant des anti-oxydants (vitamine C, E, coenzQ10, L carnosine, acide lipoïque, Se, Mg, etc). Mais les économiser ne revient pas à en absorber plus, cela revient à en perdre moins et à savoir les recycler. On peut aussi inhaler un air ionisé négativement par un appareillage adéquat (ioniseur Elanra voir www.etudesetvie.be) et/ou bien réaliser des séances avec un négativeur (www.lecorps-hologramme.com). Il faut bien avoir à l’esprit que la matrice fondamentale composée de tissu conjonctif et qui constitue la trame de soutien et de conduction de l’énergie de tout le corps, doit être chargée négativement pour assumer son rôle fondamental (3) ; dès que le corps perd son électricité circulante, c’est-à-dire ses électrons, alors la substance fondamentale devient positive (oxydée) et les inflammations démarrent ! c’est le début de la maladie, quel qu’en soit le territoire, des infections chroniques et des dégénérescences … 2 - Comment se recharger en oxygène, à côté de la dissociation déjà acquise de l’eau par les neutrinos ? bien sûr en pratiquant le Pranayama du Yoga à tous les âges et dans toutes les situations, en pratiquant les asanas des yogis ou bien les différents Qi Gong des maitres chinois pour la répartition harmonieuse de cet oxygène (et de l’électricité ainsi que de la lumière) dans le corps : la pratique régulière est une bonne mesure de prévention-santé ; mais la pratique intensive (plusieurs heures par jour) a démontré sa réelle efficacité thérapeutique, y compris dans les cas de cancers (Jerry Alan Johnson - Traité de Qi Gong médical - vol 5). La motivation et les forces initiales du patient sont ici la limite ! par ailleurs, en se mettant ou en se remettant au sport, idéalement de manière fractionnée, c’est-à-dire en alternant par ex des sprints (à pied, à vélo ou en natation) avec des phases de repos 2 fois plus longues (15 secondes de sprint pour 30 secondes de repos, à répéter 8 fois de suite, et ce 3 fois par semaine seulement) ; une manière d’augmenter son amplitude respiratoire au maximum de ce que permet son âge et sa condition du moment ! Un réflexe absolument vital qui augmente votre taux de mitochondries dans le muscle, ce qui est démontré scientifiquement. L’apport d’électrons et d’oxygène en abondance au corps n’est donc pas une attitude pseudo-naturelle pour les gens bio en mal de nature ! Non, sous ses différents aspects, cette discipline de recherche d’oxygène et d’électrons, est une attitude absolument indispensable, si l’on veut conserver sa vitalité au fil du temps ! Et plus l’âge avance, alors que les intoxications/infections/stress psy s’accumulent, plus cette absorption facilitée d’électrons et d’oxygène est essentielle. Stratégie anti-cancer générale
* Il faut tuer par sur-oxydation sélective les cellules cancéreuses : sélective, car il s’agit de toucher le moins possible les tissus sains qui sont déjà très oxydés et qui n’ont surtout pas besoin de ralentir encore leur renouvellement. * Réduire (apporter des électrons) et oxygéner au maximum les tissus restés sains, ainsi que nous venons de l’expliquer. Oxyder fortement les tissus cancéreux afin de stopper leur multiplication, est la première phase nécessaire pour traiter un cancer, de la même manière qu’une attelle posée est la première phase de la réparation d’une fracture, afin d’éviter le mouvement local. Le cancer serait en quelque sorte une « fracture des tissus mous » ! La chirurgie est cette méthode mécanique, très technique, qui lorsqu’elle est possible et bien réalisée, permet cette première phase de traitement du cancer, toujours d’actualité, avec ouverture (oxydation) puis fermeture propre et précise de la plaie. La chimiothérapie et la radiothérapie contemporaines ont pour but aussi l’oxydation de la ou des tumeurs : l’objectif est de stopper net la prolifération anarchique ; quand le but est atteint (en dehors des résistances), elles peuvent s’avérer utiles, car elles sont fortement oxydantes ! et donc la ou les lésions cancéreuses régressent bel et bien ; le problème est qu’elles induisent à moyen terme d’autres cancers, des résistances et aussi des dommages sur la moelle osseuse (liés à la déstabilisation des ADNs sains selon le Pr Beljanski - 4). Plus judicieuses seraient des technologies toujours fortement oxydantes pour le cancer, mais sélectives d’action, n’entrainant pas de dommages sur les cellules souches vitales de la moelle osseuse ou bien sur les cellules en renouvellement rapide comme les cellules de la muqueuse intestinale et surtout sur les tissus sains situés au voisinage d’une lésion tumorale. Ces stratégies existent : 1 - En biochimie : On a rapporté des cas de régression d’un cancer par la prise orale d’hypochlorite de sodium – le fameux MMS – mais son effet est oxydant pour tous les tissus, si bien que beaucoup de personnes ne le supportent pas ! il faut de plus pouvoir perdre 10 ou 20 kg pour entamer une cure avec ce produit, donc à déconseiller aux personnes déjà amaigries et/ou affaiblies. Plus élégant et plus scientifique, très documenté, pour oxyder de manière sélective la zone du cancer, car les cellules cancéreuses ne possèdent pas l’enzyme catalase, on peut avoir recours 1 fois par semaine à de la vitamine C à haute dose, en flacon pour perfusion de 25 g, que l’on trouve dans les pharmacies allemandes : par ex la pharmacie Flora/ www.flora-pharm.de à Hannover (fournisseur laboratoire Pascoe), ou bien la Anker-Apotheke à Kehl ou encore la Victoria Apotheke à Saarbrucken. Le protocole possible est alors le suivant : perfusion IV de 30 à 60 g de vitamine C sur 2 ou 3 h de temps, adjuvée de bicarbonates et de magnésium, à répéter 1 fois par semaine ; que l’on peut alterner avec du laetrile (ou vitamine B17) – Lundi vit C et Jeudi vit B17 par ex - un autre oxydant sélectif de la cellule cancéreuse, disponible en perfusions (de 3 g à 15 g par voie IV 1 fois/sem – antidote vit B 12) ou bien en gélules (voir la pharmacie ci-dessus). L’Artémisia Annua (www.bionops.eu ou www.biologiquement.com) se fixe sur le fer capté préférentiellement par les cellules cancéreuses (il faut apporter une dose de fer organique par ailleurs seulement durant le traitement) et donc apparaît aussi comme un autre oxydant spécifique : prendre pendant 2 à 3 jours quelques 70 mg/kg/jour ! ce qui équivaut à 15 à 25 gélules de 250 mg pour un adulte. Sélectifs également par ailleurs – mais cette fois peu ou pas oxydants - sont les extraits de Pao Pereira et de Rauwolfia vomitoria, développés par les travaux exceptionnels du Dr en Biologie Mirko Beljanski (4) : à la fois anti-infectieux (le Pao est un excellent antiviral) et stabilisateur des liaisons H des ADN s cancéreux ouverts, ils agissent très bien sur les lésions cancéreuses si l’on respecte la dose requise, y compris et surtout en association avec chimio- et radio-thérapies classiques (voir le site www.natural-source.com et www.beljanski.org). Durant les traitements à fortes doses d’oxydants sélectifs, une supplémentation simultanée (ou bien juste après dans le cas de l’Artémisia) en glutathion liposomal/sublingual (www.apoticaria.fr ou www.onatera.com ou www.labo-lestum.fr) et/ou en chardon-marie est recommandée. 2- En biophysique : à côté de méthodes encore coûteuses et peu documentées pratiquées petit à petit dans quelques hôpitaux français (Poitiers, Paris) comme l’électroporation, existe depuis presque 100 ans et surtout depuis les années 80 dans le monde, la méthode d’électro cancer therapy (ECT) ou de galvanothérapie (usage d’un micro-courant continu entre 2 électrodes). Pour le prix d’un échographe de qualité (environ 40 000 €), il est possible de traiter tout type de cancers (sauf les leucémies) en cabinet de ville ! Déjà largement usitée depuis les années 50 en Russie et méthode officielle là-bas depuis l’an 2006, c’est surtout à partir des années 80 en Suède (sous l’impulsion du Pr Nordenstrom, Pdt du jury du Prix Nobel durant 25 ans), puis après les années 90 en Chine, en Allemagne, en Autriche et au Danemark, que l’on connait l’ECT. En Chine, on dispose de statistiques sur le traitement de dizaines de milliers de patients porteurs de tumeurs solides et collectées auprès de plus de 800 centres anti-cancéreux équipés de la technologie ECT avec un recul de plus de 10 ans ! Les chiffres de réussite de l’ECT seule sont impressionnants (70 à 100 % de réussite sur les tumeurs solides, sans récidive) et ce, pas seulement pour des cancers superficiels (mélanomes, basocellulaires, cancers ORL, cancers du vagin, etc …) mais aussi pour des tumeurs malignes profondes, y compris avec métastases. Au début d’un cancer de la prostate ou du sein par ex ou de leur récidive, au lieu d’avoir recours à des méthodes agressives de chirurgie et/ou de rayons ou de chimiothérapie, qui vont oxyder toujours plus le terrain (les tissus encore sains), l’ECT offre une garantie d’efficacité et de sécurité, qui plus est, en agissant de manière sélective, sans dommage collatéral. Nous sommes en cours de traduction vers le français du livre de Mr Weber, spécialiste autrichien de la question, un livre (voir www.krebstherapie-beratung.com) qui constitue une information précise sur l’ECT et sur ses résultats : A cette fin, l’ECT-G8 est déjà agréé en Europe comme appareil médical (par le TUV de Berlin), avec indication « cancer ». Cette méthode est basée sur le fait que la membrane de la cellule cancéreuse possède une résistance électrique 10 fois inférieure à celle de la cellule normale saine ! Le tissu cancéreux laisse donc passer facilement et préférentiellement un micro-courant, qui s’il est informé correctement (fréquences spécifiques de modulation), détruit la cellule cancéreuse par nécrose. Les suites du traitement (1 séance de 1 à 3 h toutes les 2 à 4 semaines) relèvent du drainage du foie et des reins, afin d’évacuer les déchets générés par cette nécrose. Les médecins chinois, qui sont pragmatiques et surtout soucieux de ne pas dépenser de l’argent inutilement avec des chimiothérapies le plus souvent moins efficaces et potentiellement toxiques, ont compris très vite l’intérêt de l’ECT, si bien que le cancer en Chine est traité aujourd’hui principalement par l’ECT associée à l’acupuncture et à la phytothérapie ! L’avantage d’avoir à disposition une Médecine qui a 30 siècles d’existence ! Un exemple à suivre… Le programme 3D.P.E : Diétététique-Détoxification-Désinfection-Psycho-thérapie-Energie
Chez l’homme, il s’agit bien sûr d’ajouter le chapitre très important de la psychothérapie P (la stratégie globale devient 3D.P.E), seule capable d’apporter une aide décisive par le verbe à une personne : le stress psychique est en effet pourvoyeurs d’émotions (peurs, tristesse, colères, frustrations, etc …), de conflits, et donc d’oxydation, c’est-à-dire de perte d’électrons. Il faut aider une personne atteinte d’un cancer sous cet angle également, beaucoup d’auteurs parlant à propos du cancer « d’une maladie de l’Ame » ayant pour conséquence une souffrance devenue physique : on verra plus loin que le SWD peut aider puissamment à corriger cette souffrance cellulaire en reconditionnant l’inconscient du patient pour le meilleur (le SWD en tant qu’outil d’auto-hypnose). Au chapitre de la biologie seulement, 3D.E signifie Diététique-Détoxification-Désinfection et Energie ; nous examinerons brièvement et successivement ces 4 chapitres. 1 – DiététiqueLe but est ici de changer radicalement la flore intestinale, en changeant l’aliment et en apportant quelques suppléments judicieusement choisis ; en rétablissant l’équilibre des aliments acidifiants (viandes et protéines animales, laitages, sucres) et alcalinisants (fruits et légumes), on soulage le tissu conjonctif ainsi que les émonctoires (peau, intestins, foie et reins) d’inflammations/infections chroniques délétères liés aux résidus acides (forts et faibles).Des mesures simples comme manger majoritairement – à 80% - cuit (contrairement à certaines modes actuelles, mais en accord avec l’Ayurvéda depuis 5000 ans !) et chaud, comme prendre ses fruits en dehors des repas, comme supprimer les sucres et le plus possible le sel, comme consommer des protéines au petit déjeuner, constituent déjà des progrès importants par rapport au niveau de repas moyen de l’occidental moderne ! Pour l’Homme, la monodiète selon Ste-Hildegarde (légumes et soupe d’épeautre non hybridé) ou encore le jeûne dirigé (à moduler selon la physiologie de chacun, voir www.thomasuhl.com), sont des moyens éprouvés pour changer radicalement la flore intestinale et diminuer le nombre de toutes ses bactéries ( www.lesjardinsdhildegarde.com et/ou www.virita.de). La diète cétogène, avec 0 sucres (c’est-à-dire ni céréales, ni pommes de terre, ni sucres rapides), de bonnes graisses végétales et des protéines, semble être la voie à suivre en cas de cancer, comme en cas de neuro-dégénérescences : voir le livre « le régime cétogène contre le cancer » aux éditions Thierry Souccar. Mais comme cette diète est parfois difficilement supportée, il s’agit d’ajouter des enzymes pancréatiques (créon, eurobiol en pharmacie) et/ou bien des cholérétiques (radis noir, pissenlit). En cas de cancer, il faut aussi tenir compte de la diététique pauvre en polyamines, mise en avant par le Pr Moulinoux de Rennes il y a déjà plus de 20 ans ! Les facteurs de croissance contenus dans certains végétaux (graines, champignons, légumes en fleurs, etc), dans certains types d’aliments (pollens) sont susceptibles de stimuler la croissance des tissus cancéreux. Pour accéder au contenu en polyamines des différents types d’aliments, consulter les sites www.nutrialys.fr et aussi www.effinov-nutrition.fr ; toutefois, il faut éviter pour les patients cancéreux d’utiliser l’aliment préparé Castase, pauvre en polyamines certes, mais beaucoup trop riche en sucres, pour les besoins de sa commercialisation. Finalement, choisir ses aliments en fonction de la présence de polyamines d’une part, de leur contenu pas trop acidifiant et/ou de leur teneur en sucres rapides ou lents, peut relever du casse-tête ? en pratique, en évitant les sucres, ainsi que les viandes, les charcuteries et les laitages, il faut et il suffit de ne pas se gaver de noix, de fruits de mer, de brocolis ou de champignons, pour pouvoir faire son marché facilement et correctement : et avec un peu de pain d’épeautre, de la volaille, quelques poissons et des œufs, avec une grande majorité de légumes et quelques fruits, on peut se nourrir très raisonnablement, durablement et ce de manière agréable. Chez l’animal, changer d’alimentation revient le plus souvent à redonner des aliments frais au lieu d’aliments industriels. Afin de compléter un changement de régime radical, on peut supplémenter son patient avec du Biocitrucid (extraits de pépins de pamplemousse adjuvés d’oligo-éléments chez www.phytofrance.com , 50 gouttes 3 fois / j) ou encore du gel d’aloé véra (en magasin bio, 2 c à soupe / j, 15 jours seulement par mois, sinon on constate des irritations de la muqueuse) : ces 2 produits permettent un nivellement salutaire des flores de fermentation et/ou de putréfaction de l’intestin (cette dernière qui génère des polyamines à éviter). Un diagnostic « scientifique » du contenu intestinal, avec la ou les flores pathogènes à neutraliser ou à combattre, puis à rééquilibrer, peut/doit être pratiqué en demandant un kit d’analyses de type FLORINSCAN après des Laboratoires Réunis au Luxembourg : www.labo.lu . L’approche du Dr Donatini qui met en avant l’analyse des gaz expirés est complémentaire ; dès lors qu’un certain type de flore (flore de fermentation, flore de putréfaction) est détecté en excès, il faut et il suffit d’en diminuer l’incidence à l’aide d’associations d’huiles essentielles choisies (foret-nature@orange.fr) . Par ailleurs, en cas de cancer, les jus de légumes frais (obtenus avec un extracteur de jus) sont une source importante de vitamines, d’oligo-éléments et d’enzymes, le tout présenté sous la forme la plus réductrice possible (riche en électrons), c’est-à-dire à l’inverse de l’oxydation (et déshydratation) forcenée des tissus cancéreux (voir introduction plus haut). La cuisine à l’aide d’aromates et d’épices douces (coriandre, fenouil, gingembre, anis, cumin, etc…) constitue par ailleurs un atout précieux, afin d’assurer les meilleures digestions possibles à chacun selon sa typologie : plus étonnant encore est le produit que nous avons ramené l’an dernier du Japon, l’ail noir, qui représente une préparation fermentée de l’ail commun : ses propriétés protectrices des vaisseaux (veines et artères), fluidifiante du sang, hypoglycémiante, hypocholestérolémiante, anti-infectieuses et antiparasitaires, en font en fait un super-aliment à recommander à tous après 45 ans ! Voir en France le site du Monastère des Clarisses de Lourdes /rubrique produits www.clarisses-lourdes.org). Enfin, le point essentiel de diététique de tous les jours - toujours oublié - est l’apport en eau de boisson et en liquides dans le cours d’une journée : la dose recommandée est de 30 ml/kg/j ! D’une eau pure et dynamisée, soit 2 litres d’eau ou de tisanes pour 70 kg de poids ; or au moins la moitié de la population « fonctionne » - très mal – avec seulement un demi-litre par jour ! Là encore cette déshydratation tissulaire chronique est synonyme d’oxydation accélérée (perte d’électrons) ; il n’est pas utile de mettre en œuvre quelque traitement que ce soit, si l’on a oublié de faire boire beaucoup, « propre » et chaud (voir www.cytobiotech.com pour des solutions d’osmose et de dynamisation de l’eau). L’eau bue – nous l’avons vu plus haut) sert par ailleurs de support à la neutrinolyse et se trouve donc être notre source essentielle d’électrons et pour une part significative de l’oxygène intracellulaire (dissociation de H2O en H2 et ½ O2 + électrons). Au chapitre de la nutrition du cancéreux, il faut aussi parler des suppléments nécessaires : en premier lieu la vitamine C ( 3 à 5 g par jour sous forme liposomale voir www.vitamax.fr ou www.apoticaria.fr ou encore www.sanus-q.com – vit C et glutathion), la vitamine D (4000 UI/j chez www.bionutrics.fr ), l’acide lipoïque et la L-carnosine (www.bionops.eu et www.onatera.com), voire la NADH en cures prolongées www.fairvital.com/fr. Par ailleurs, l’apport de bicarbonates de sodium aux vertus anti-inflammatoires et anti-fongiques (voir le livre du Dr Simoncini « le cancer est un champignon) est recommandé par tous les auteurs, à raison de 2 c à café matin et soir dans un peu d’eau ; d’autres produits comme Alcabase (www.onatera.com) fournissent des bases plus diversifiées. Enfin une supplémentation en iode et en magnésium est recommandée également. 2 - DétoxificationNous sommes encombrés par de nombreux toxiques, qui polluent notre foie, nos reins, bloquent nos mitochondries, nos échanges membranaires. Ils entrainent un surcroit de travail des émonctoires et donc une nette surconsommation d’oxygène et d’électrons !Les mesures les plus efficaces et les plus simples pour détoxifier les tissus et le foie sont les lavements intestinaux au café vert (voir www.jaderecherche.com) : de 1 fois par mois à 1 fois par jour (2 fois par semaine est déjà une bonne pratique de drainage !), le but est ici de nettoyer la muqueuse du rectum et du colon descendant et d’en éliminer au moins pour une grosse part la flore de putréfaction devenue pathogène et productrices de polyamines (spermine, spermidine, cadavérine, putrescine), quand elle est trop abondante. Les plantes du foie et des reins sont également indiquées (radis noir, pissenlit – décoction des racines -, artichaut, chardon-marie). Un autre moyen de nettoyage du tissu conjonctif est le bain hyperthermique et hypersalé (41°C au moins et 20 g de sel par litre d’eau) ; les japonais le pratiquent plusieurs heures par jour jusqu’à la ceinture ; d’autres le recommandent 15 min par jour pour tout le corps ou bien au moins, sur les pieds et les avant-bras. La perfusion de plasma de Quinton en injection sous-cutanée – autour du nombril - est aussi un moyen de redonner à l’eau interstitielle de l’organisme, la structure originelle de l’eau de mer, ainsi qu’une bonne charge d’oligo-éléments de composition équilibrée ; le niveau de cet apport peut atteindre 250 ml/j (voir le site www.source-claire.com ou www.csbs.fr ). Cicatrisante, détoxifiante et désinfectante est la chlorophylle que l’on trouve abondamment dans l’algue chlorella, en même temps que des molécules cicatrisantes de la muqueuse stomacale et intestinale. (On peut prendre de 5 à 15 comprimés de chlorella 3 fois par jour ou bien 3 gélules de chlorophylle pure extraite de la luzerne - voir Quantaphylle chez www.phytoquant.fr). Le Pr Linus Pauling avait remarqué que les chèvres fabriquaient quelques 13 grammes de vitamine C par j, et jusqu’à 100 g en cas de stress ! Or les chèvres – et plus généralement les petits ruminants - qu’il est impossible de cancériser de quelque manière que ce soit (voir la thèse de Doctorat du Dr vét. Jean Crespin), consomment aussi de larges quantités de chlorophylle (également source de magnésium organique) par jour, portée par des végétaux digérés par des bactéries intestinales très abondantes. Et si la recette nutritionnelle anti-cancer incontournable – transposée à l’homme - était le cocktail consommé chaque jour étant égal à [3 g de chlorophylle + 50 milliards de bactéries probiotiques + 10 g de vitamine C] ?… Par ailleurs, un chapitre important de la détoxification du corps est l’ablation des métaux lourds en bouche par des travaux sur les dents, malheureusement souvent longs et coûteux. Il faut idéalement avant/pendant et après, pratiquer la chélation des métaux (par le DMSA, la zéolithe – voir www.panaceo.com - et/ou autres protocoles associés) imprégnés dans le tissu conjonctif et la graisse du cerveau.
Enfin, 2 molécules sont à même d’apporter une aide puissante à la détoxification du corps, surtout quand celui-ci se bat pour assimiler des chimiothérapies toxiques : l’une est le glutathion (voir le sublinthion sur le site www.labo-lestum.fr) qui est une majeure clé pour un travail correct du foie et l’autre est l’acide lipoïque (2 à 5 x 300 mg/j voir le métalipoate sur le site www.bionutrics.fr ou le sodium R lipoate sur le site www.supersmart.com) qui redonne aux mitochondries le pouvoir de brûler les sucres à haut rendement énergétique, ce qui évite l’acidose lactique cellulaire, puis tissulaire, typique des lésions tumorales. Vous pouvez consulter par ailleurs sur ce thème le site du Pr Schwartz www.guerir-du-cancer.fr.
3 – Désinfection
Les liens entre cancers et infections chroniques ne sont plus à démontrer : hélicobacter/EBV et cancer de l’estomac, EBV et Herpès et cancer du sein, papillomavirus et cancer de l’utérus ou de la prostate, cytomégalovirus et glioblastome, etc… Ces germes ne sont pas des « responsables » directs des dommages causés aux tissus qui sont leurs cibles, mais ils les colonisent parce que ces tissus sont oxydés (carence en énergie/électrons) et qu’ils trouvent là un terreau propice à leur croissance : ils sont un peu les fossoyeurs de ces tissus fragilisés par ce défaut d’électrons, et ils ont pour charge d’en accélérer l’élimination.
Dans les années 80 (voir le livre 4 women against cancer), un groupe de microbiologistes américains a pu établir le lien entre la présence systématique de mycobactéries pleïomorphes (c’est-à-dire changeant de forme et passant de l’état bacille à celui de coque ou encore de mycélium) et des maladies comme le cancer ou la sclérodermie : ces mycobactéries étaient capables de reprogrammer un cancer sur des végétaux ou des animaux auxquels on les avait réinjectées. L’apport de plantes et/ou d’huiles essentielles ou encore de champignons thérapeutiques, pour contrer quotidiennement la prolifération des bactéries, des virus et des champignons pathogènes (candida) est une démarche préventive et curative présente dans toutes les médecines traditionnelles. Ce faisant, on évite ainsi nombre de maladies infectieuses, mais aussi la plupart des maladies dégénératives chroniques – dont les cancers - au cours desquelles évoluent à bas bruit des infections dites « froides ». Nous avons retenu 7 stratégies dans ce domaine : - Prêter la plus grande attention aux infections dentaires, apicales ou bien logées sous les pivots, les couronnes, etc... Prévoir une révision complète de la sphère buccale, un diagnostic précis et un traitement minutieux de ces foyers dentaires. En prévention, ajouter une goutte d’un mélange d’HE au dentifrice sur la brosse à dents (voir Buccarom sur le site www.pranarom.com). - Apporter des huiles essentielles par voie orale comme par ex la synergie du Dr A.M Giraud avec 2,5 ml de Myrrhe, de Ledon du groenland, d’Hélichryse italienne, de Ravintsara (C. camphora), soit 10 ml en tout : donner de 3 à 8 gouttes du mélange à la fin des 3 repas. En dehors de la chirurgie, on peut remplacer l’Hélichryse par le Niaouli. - L’apport d’huiles essentielles par voie locale en percutanée, est à priori à éviter pour son côté irritant potentiel ; toutefois, il nous est possible de citer un cas d’ostéosarcome, dans lequel l’application locale (tibia) et quotidienne d’un mélange d’huiles essentielles de géranium rosat et de santal blanc, a entraîné la guérison clinique de la lésion ! en plus de la stratégie générale diététique et détoxifiante citée plus haut. Les huiles essentielles d’encens et/ou de citronnelle sont aussi très fréquemment utilisées dans l’indication « cancer ». - L’apport de champignons thérapeutiques antiviraux (Immunocance de Jade recherche www.jaderecherche.com ou encore le shiitaké fermenté made in Japan (Import Cytobiotech) ou encore les souches de champignons du laboratoire Micosalud (http://fr.hifasdaterra.com/store/micosalud/extractos) et aussi ceux du Dr Donatini (foret-nature@orange.fr). - L’apport de cannabis médical, à forte teneur en CBD (légal aujourd’hui en Europe dès lors que le taux de THC<0.1% des cannabinoïdes) : des « perles » de Rick Simpson (www.alchimiaweb.com/blogfr/huile-cannabis-rick-simpson) au Cannabis juicing du Dr US Courtney, l’extrait de cannabis a montré des propriétés antifongiques, anti-cancer et anti-douleur, étudiées désormais dans le monde entier : la limite est la tolérance du patient et le stade d’avancement de son cancer et/ou de ses douleurs associées. Après avoir enquêté aux US, aux Pays-Bas, en Suisse, en Espagne ou en France, pour se procurer un cannabis de bonne qualité (en capsules et/ou en suppositoires), je vous conseille le site www.endoca.com. - La tisane ESSIAC, un mélange de petite oseille, de rhubarbe de chine, de bardane et d’orme rouge a des propriétés anti-infectieuses, détoxifiantes et anti-cancer ; cette recette est très puissante et célèbre dans le monde entier depuis les années 1920 à l’initiative de l’infirmière Renée Caisse ; aujourd’hui disponible en tisanes, gélules et teinture mère uniquement auprès de la société canadienne Canadian Health Products, voir www.essiacproducts.com. - Proposer une cure de propolis, un produit anti-infectieux très réducteur de la ruche, actif à la fois comme régulateur de la flore buccale et intestinale, mais aussi après passage dans le sang, actif contre des germes systémiques comme les staphylocoques et streptocoques, ainsi que de nombreux virus (préférer la gomme de propolis de votre apiculteur bio local). La diminution de l’incidence et de la virulence des virus et des bactéries dans le corps et en particulier dans l’intestin (voir §1) est une bonne chose, si l’on considère que les micro-organismes par définition se développent à nos dépens et donc détruisent les tissus, plus encore ceux d’une personne malade, ce qui entraîne la production de polyamines cancérigènes, ce qui entraîne la production de polyamines cancérigènes. NB : Pour contrer spécifiquement les virus, les candidas et les bactéries pathogènes, le SWD du Pr Meyl permet à la fois une vectorisation des HE par la voie des ondes scalaires au travers du patient, mais aussi (voir §4 et lettre d’information n° 3) une modulation par les fréquences de Rife de l’onde porteuse, inhibant le développement des micro-organismes. 4 – Energie
Après avoir corrigé sa diététique, détoxifié et désinfecté un patient, il s’agit enfin de lui donner de l’énergie d’une part et par ailleurs de lui apporter des informations capables de contrer la progression du cancer d’autre part : le SWD du Pr Meyl est dans ce cas de figure, un outil qui s’avère indispensable. Il vient majorer le quantum d’énergie que toute personne doit puiser dans son environnement proche, par la pratique régulière des exercices respiratoires et corporels (voir plus haut les exercices fractionnés et le Yoga/Qi Gong). Les exercices permettent surtout de renforcer la densité du corps, l’énergie de cohérence du tissu conjonctif, bien connue des acupuncteurs sous le nom d’énergie du poumon et de la rate, et par ailleurs ils font que le corps apprend à harmoniser/équilibrer le haut avec le bas, la droite et la gauche ou encore l’intérieur avec l’extérieur du corps.
A côté de cette pratique générale des exercices corporels qu’il faut encourager à tous les niveaux, même si le patient est faible et alité, le SWD apparaît plus « technique », car précis : Pour le patient cancéreux, il est utile dans au moins 3 directions :
a) De l’énergie en plus grâce au SWD et éventuellement aux techniques de négativationSi le SWD représente l’apport de lumière et indirectement – via l’eau du corps – d’électrons, on peut compléter son action activatrice du métabolisme par un apport externe d’électrons. Le cancer étant une accumulation locale de produits toxiques et/ou de déchets tissulaires en voie de nécrose, sa charge électrique est très positive (perte d’électrons ou oxydation) et la négativation électrique par un négativeur comme la réduction biochimique par des aliments ou l’eau, doit neutraliser cette tendance positive. Trop de charges électriques positives signifient un tissu en voie d’oxydation massive et recharger les tissus et la matrice fondamentale en électrons (voir plus haut) est une mesure à la fois préventive et curative.
b) Le SWD dans un protocole anti-infectieux et anti-cancerConcernant la nécessité de lutter contre les micro-organismes présents, il est possible désormais d’utiliser le SWD comme transmetteur des fameuses fréquences de Rife, qui vont inhiber le développement de virus ou de bactéries spécifiques (logiciel et générateur de signaux à commander sur le site www.spooky2.com). Un diagnostic par sérologie ou par PCR peut orienter le choix des séries de fréquences appropriées. L’utilisation de balayages de fréquences qui en théorie pourraient atteindre tout type de micro-organismes, même encore inconnus (mycobactéries cancérigènes ?) n’est pas encore assez aboutie pour être testée sur le terrain ? Elle pourrait être dangereuse même sur les germes qui nous sont utiles...
Par contre la série Lakhovsky pulse que nous avons créée (les 12 antennes de l’appareil Lakhovsky dont les longueurs ont été transformées en 12 fréquences de valeur de plus en plus élevée) ou encore la cinquantaine de fréquences de Rife originales (par ex 1.6 MHz ou bien 3.3 MHz) L’avantage du SWD couplé à ce logiciel et à ce générateur de modulation de la porteuse scalaire, est de pouvoir neutraliser les micro-organismes de chaque patient : cela suppose une recherche et un traitement très spécifiques de chacun, donc dans le cadre d’une individualisation du diagnostic poussée. Pour à la fois envoyer une information de destruction aux micro-organismes présents et en même temps au tissu tumoral, le protocole suivant a été retenu :
Le but est ici de produire un contact avec des produits capables de tuer des cellules cancéreuses et/ou des micro-organismes accompagnant les cancers (virus), et donc de fabriquer une information « cellules cancéreuses et micro-organismes en voie de destruction » ; c’est cette information très particulière qui va être transportée par la voie des ondes scalaires au travers du corps du patient atteint.
Lors de ces séances, la tour de réception du SWD sera placée au plus proche de la tumeur principale et la tour d’émission au plus loin, de façon à créer un champ particulier de circulation de l’énergie, mais aussi des acides et des bases dans les tissus en fonction du placement des antennes. Par ex, s’il s’agit d’un glioblastome, la tour réceptrice sera placée à la tête, du côté atteint le cas échéant et la tour d’émission aux pieds à l’opposé, à l’inverse si le cancer est utérin ou prostatique, la tour de réception doit être placée en bas du corps, entre les jambes et la tour d’émission à la tête. S’il s’agit d’un cancer du sein, la tour de réception sera placée devant à hauteur de la poitrine (ou bien à droite/gauche de la personne) et la tour d’émission soit dans le dos, soit au pied opposé.
Le but de ces séances est d’apporter de l’oxygène et des électrons, un apport doublé de l’information contraire à la prolifération cancéreuse : cette énergie et cette information contribuant à inhiber une tumeur ayant proliféré jusqu’à présent sans contrôle ; encore faut-il pour obtenir un résultat que le corps n’ait plus besoin de fabriquer cette ou ces tumeur(s), qu’elle(s) soi(en)t devenue(s) inutile(s). Une tendance qui ne sera obtenue qu’avec la stricte observance des § 1 à 3, et globalement un apport d’oxygène et d’électrons toujours renouvelé pour les tissus sains environnants. En effet (voir plus haut), si le corps et les tissus ont un apport permanent d’énergie suffisant et n’en surconsomment pas non plus de manière systématique, alors le cancer n'apparaîtra plus. Le traitement par le SWD devient alors une « radiothérapie » très spécifique par les ondes scalaires, à visée d’apport général d’énergie, mais aussi dans un but de désinformation/désamorçage de la tumeur plutôt que de destruction directe de celle-ci et en même temps, d’une mise à l’écart – fréquences incompatibles - renforcée visant les antigènes (bactéries, virus) destructeurs des tissus. Qu’une personne soit déjà traitée par des anticorps monoclonaux, de la chimiothérapie ou de la radiothérapie, qu’elle refuse au contraire ces traitements, qu’elle ait subi déjà une chirurgie, la perte d’énergie (lumière, électrons) est dans tous les cas importante, ne serait-ce qu’à cause des différents stress vécus, des cicatrices faites et de l’oxydation engendrée par des médicaments oxydants et non spécifiques. Le SWD apparaît alors comme une aide toujours précieuse, qui peut faire basculer le pronostic de ces maladies complexes. c) Le SWD, outil d’auto-hypnose
Enfin, un autre aspect de l’usage du SWD, qui n’est pas le moins intéressant et qui appartient au P du protocole « 3D.P.E », est son usage comme instrument d’auto-hypnose ; toutes les personnes qui ont lu le livre de Konstantin Meyl « la guerre des ondes scalaires » (1) ont compris que les russes, Maîtres es ondes scalaires depuis un siècle et l’époque de Nikola Tesla, utilisent depuis longtemps le pouvoir pénétrant de ces ondes pour transporter des suggestions irrésistibles vers le mental de patients hospitalisés en clinique psychiatrique … ou d’espions en cours de formation ou de re-formation ! L’idée est qu’une information portée par ce type d’onde constitue une suggestion que le subconscient d’une personne ne peut qu’accepter (quasi à 100% avec son accord).
Comme l’onde porteuse d’un SWD est scalaire, de forme spirale, à l’identique des ondes cérébrales, il est facile de lui faire transporter un message de type son – mais resté inaudible - très positif, destiné à un patient submergé par des pensées au contraire très négatives. (voir la newsletter n°6 consacrée à cet utilisation du SWD). Les patients cancéreux, qui sont inflammatoires depuis longtemps et qui ont donc perdu beaucoup d’énergie sous forme de chaleur, en plus du fait d’en récupérer (oxygène et électrons via l’eau traversée par les neutrinos en flux concentré) bénéficient ainsi de la détente procurée par ce message subliminal : par ex « toutes mes cellules sont en harmonie avec la vibration divine, toute charge karmique est désormais dissoute, tous mes systèmes organiques sont réinitialisés dans leur perfection originelle jusqu’à produire une santé parfaite dans tous mes corps et dans tout mon Être ». Recevoir un tel message en boucle durant 10 ou 15 minutes ne peut que faire du bien ; il n’est pas entendu par la personne traitée et donc le cerveau ne peut pas le contrer, mais il est reçu par chaque cellule à un niveau plus basique et donc plus direct et plus efficace. Le message ci-dessus a été écrit par un patient pour lui-même et a été réutilisé avec profit par de nombreuses autres personnes par la suite. Plus le message subliminal touche personnellement l’histoire du patient, plus l’impact est grand pour défaire le stress chronique générateur de frustration et/ou de colère ayant amené à la maladie, en particulier cancéreuse. Ainsi tout type de message est-il possible ! entre le bien-être, l’hypnose et la thérapie par une technologie très sophistiquée et précise. SynthèseCe protocole 3D.P.E - applicable quelles que soient les tumeurs - comprend donc plusieurs volets qui sont d’égale importance. Le plus spectaculaire est le chapitre d’aide à l’inhibition de la prolifération tumorale par les ondes scalaires. Ces dernières étant porteuses d’informations contraires à la croissance tumorale et en même temps contraire à la prolifération de divers micro-organismes, spécifiques de la personne traitée. Cette individualisation de la thérapie est une des garanties du succès. Il est à noter que le SWD apporte une énergie assimilable, mais cette énergie peut être assimilée également par la tumeur ; ce qui signifie que durant la phase où la tumeur est présente, il convient que cette énergie soit tellement élevée en puissance que la cellule cancéreuse seule n’y résiste pas (comme par ex lors de l’ECT), et/ou bien qu’elle apporte une information anti-tumeur très précise qui amène à sa régression (et aussi en même temps de bonnes doses d’électrons libres anti-oxydants – voir la négativation - ) : une huile essentielle contient plusieurs centaines de molécules, ce qui sous-entend plusieurs centaines de fréquences associées ; une série de fréquences de modulation de type Rife est une autre façon d’apporter des informations anti-cancer, sous une forme plus physique. Il faut donc inhiber par la voie des ondes la prolifération des tumeurs, en ajoutant à l’énergie (le champ scalaire très pénétrant) des informations spécifiques anti-infectieuses et/ou anticancéreuses. Pour contrer la prolifération du tissu cancéreux hors contrôle, il ne faut pas hésiter bien sûr à mettre en œuvre d’autres moyens que le SWD, si nécessaire ? Dans l’idéal des moyens spécifiques bien sûr, comme l’ECT (bientôt disponible en France) ou comme les perfusions de vitamine C à hautes doses ou comme des cures d’Artémisia Annua. Au début de la progression d’un cancer, qui n’est jamais une urgence, le médecin a le temps de préparer son patient - via la stratégie 3D.P.E - à tous les cas de figure possibles, y compris au recours à la chimiothérapie et à la radiothérapie classiques ainsi qu’à la chirurgie – si l’ECT n’est pas accessible ! - des options encore aujourd’hui largement majoritairement vécues par les patient(e)s. Le SWD n’est qu’un outil au cœur de cette stratégie, dont le but est de changer un pronostic contraire 20-80% en une issue favorable 80-20% ; grâce à un apport d’énergie régulier et mesuré, porteuse d’informations spécifiques, le paramètre « oublié » des médecins d’aujourd’hui, qui ne raisonnent qu’en biochimistes ! Le SWD avec ses 2 antennes et une différence de potentiel de 50 V/mètre entre les points d’émission et de réception, pourrait-il remplacer une technologie comme l’ECT avec ses 2 pôles/électrodes électriques, créant un champ électrique de 10 à 20 V sur une distance de seulement 10 ou 20 cm ? et ouvrir la voie ainsi à une technique encore plus soft de lyse progressive des cancers ? Il faudrait pour cela éventuellement augmenter un peu la puissance du SWD, ou bien allonger la durée des séances (30 à 60 minutes), ou encore les répéter plus souvent (tous les jours), faire une recherche sur des modulations spécifiquement inhibitrices de cancers, toujours portées par l’onde porteuse scalaire très pénétrante ; une recherche que nos confrères vétérinaires pourront mener facilement ? A ce jour, le SWD, n’est que donneur d’énergie et d’informations ; et pour cette raison, il est déjà indispensable dans le contexte du traitement de toutes maladies chroniques. L’ECT peut être nécessaire pour la lyse électrique ponctuelle d’une tumeur solide en complément. Mais la lyse d’un cancer n’en constitue pas le traitement complet : il faut pratiquer le protocole 3D.P.E dans son ensemble pour réussir à long terme, et finalement recharger en électrons et en oxygène le tissu qui a développé le cancer. Ce protocole est une étape sur une voie de recherche très prometteuse et élégante en matière de thérapie anticancéreuse ; il n’est certes pas encore complet, mais il permet de multiples adaptations à chaque situation particulière. Bien au-delà du traitement des cancers, ce protocole peut servir de référence à bon nombre de dégénérescences, en particulier celles du système nerveux. Il peut être observé autant par un médecin que par un vétérinaire dans le suivi de leurs patients cancéreux : la maîtrise des différents points – et surtout la compliance ! - étant plus facile à obtenir chez l’animal qui n’a pas le choix que chez l’homme, il n’est pas douteux que des résultats plus nets et positifs seront obtenus plus rapidement chez l’animal ?... Les premiers rapports qui nous parviennent et qui utilisent le SWD comme apport d’énergie générale et d’informations spécifiques dans le cas des pathologies cancéreuses, vont déjà dans ce sens. En résumé, la stratégie 3D.P.E appliquée au traitement des cancers comporte 3 volets : 1 – Nettoyer l’organisme assez pour que le stockage des toxines, des toxiques et des déchets tissulaires devienne inutile pour le corps, rendu à nouveau capable de se drainer lui-même en temps réel. 2 – Désinfecter assez longtemps les tissus et les organes de manière ciblée, de façon à soulager d’autant - et longtemps - l’immunité du patient de l’agression de germes externes (par les virus très communs comme EBV ou Herpes). 3 – Apporter de l’énergie en renforçant le champ des neutrinos ambiants (ce qui génère électrons et oxygène) et en profiter pour faire passer des messages anti-prolifératifs, le temps que le potentiel de drainage du corps par lui-même ainsi que son potentiel immunitaire, soient complètement restaurés. Le but de ces 3 points étant bien entendu une cure durable dans le temps – c’est-à-dire sans récidive - de cette inflammation/infection/intoxication chronique que représentent les cancers. Quelques exemples de ces traitements d’accompagnement au long cours tirés du groupe SWD (tous les exemples sont exposés dans le détail au cours du congrès annuel et/ou du séminaire 1 de formation) : Ex 1 : cas d’un homme de 69 ans, chute avec trauma crânien il y a 10 ans ; glioblastome de stade IV diagnostiqué il y a 6 ans. Crises d’épilepsie fréquentes et vertiges contrôlés par une chimiothérapie et une radiothérapie il y a 6 ans. Puis reprise lente des symptômes il y a 3 ans avec progression des images IRM Régime cétogène strict. Pao V pris de manière intermittente. Vit C liposomale, acide lipoïque, NADH 50 mg/j. 1 séance de SWD de 15 mn / semaine – tour de réception à la tête - pendant 18 mois. Vie spirituelle riche, faite de méditations et de prières, d’acceptation aussi. Pas de récidive à ce jour, plutôt amélioration des signes neurologiques résiduels, force dans le bras et perte partielle de motricité de la jambe droite, conduit sa voiture automatique, vit seul en complète autonomie ; images IRM stables depuis 3 ans. Vu 1 fois/2 mois depuis…. Ex 2 : cas d’une femme de 61 ans, carcinome du col utérin il a 5 ans ; a subi chimiothérapie, radiothérapie, puis curi-thérapie et enfin chirurgie. Récidive 1 ans après avec marqueurs SCC en hausse très nette. Chirurgie à nouveau et radiothérapie 30 séances : puis aussitôt début d’un protocole SWD 1 fois/semaine pdt 1 an avec Pao/rovol à la maison à faible dose et dans le champ de l’appareil et acupuncture contre les douleurs diverses. Avec iode, chlorophylle, acide lipoique et acides gras oméga 3 pris par intermittence : 2 ans après, pas de récidive, ni de douleurs, marqueurs restés à la normale. A retrouvé une bonne activité sportive, mais sa diététique est très approximative ! Très croyante, possède une vie spirituelle stable et importante, proche de sa paroisse locale. Est heureuse de voir régulièrement ses enfants et ses petits-enfants (le réseau social et familial extérieur construit et reconstruit le tissu conjonctif – le réseau intérieur – base de l’immunité d’une personne). Ex 3 : cas d’une femme de 61 ans, carcinome anus-rectum, qui refuse tout traitement classique ayant vu 2 de ses amies en mourir en moins d’un an malgré ou à cause des divers stress oxydants liés aux opérations mutilantes, aux rayons et aux chimiothérapies. Peu sensible au Pao/rovol, ne supporte pas le cannabis, la tisane Essiac sous toutes ses formes, ni la vit B17 en perfusion. 3 g/j Vit C liposomale, 1500 mg L carnosine, glutathion, acide lipoique, vit D 4000 UI/j, chlorophylle – Diététique surveillée avec peu de polyamines et peu de sucres, rapides ou lents. Demande une séance de 30 mn de SWD par jour , mais traitée seulement tous les 2 jours (modulée soit par un message de suggestion inaudible, soit par une fréquence Rife doublée à 3.3 MHz), ce qui débloque son transit et lui donne de l’énergie. Fatiguée, amaigrie et plus douloureuse quand elle est sans SWD après seulement 2-3 jours. Douleurs mal contrôlées pdt 6 mois par le paracétamol et l’aspirine ! mais sans dommage pour le foie du fait de cures permanentes de glutathion/vit C ; un protocole utilisant la couleur indigo (qui provoque une réaction simulant le magenta, sécrétoire/excrétoire) sur les pts d’extrémité du méridien du poumon et sur le thorax/thymus, diminue nettement es douleurs, l’insomnie chronique et l’inflammation anale. Marqueurs ACE 13 à 8 (N 4) et CA-19-9 de 40 à 13 (N 27) seulement en 4 mois. Reprend du poids en 2 mois de 50 à 55 kg /1.72 m. Pour résoudre la lésion locale déjà bien avancée au moment du début du traitement, nécessité du recours à l’ECT pratiquée en Allemagne, 6 séances à 2 puis 3/4 semaines d’intervalle. Vous avez certainement déjà traité par divers procédés certains de vos patients atteints de cancers ? Si votre expérience confirme la nôtre et surtout aussi, si vous souhaitez partager avec les membres de la communauté SWD – en toute confidentialité via le forum – votre expérience, n’hésitez pas à nous écrire/décrire vos cas. Chacun peut/doit rapporter les détails de stratégies thérapeutiques qui lui semblent importants dans ce domaine difficile de la pathologie cancéreuse. Décrire les échecs est également utile, de façon à pouvoir mettre en œuvre ensuite des traitements plus complets et plus adaptés. Merci par avance pour vos témoignages et vos questions, Rendez-vous cet automne à Paris, pour notre congrès annuel des 13 et 14 Octobre 2018 ; plusieurs conférenciers parleront de leur expérience du SWD dans le cadre des traitements de cancérologie : l’occasion de faire des synthèses et d’échanger nos protocoles ! … Bonne fin d’été à toutes et à tous, Août 2018 Dr vét. Hervé JANECEK Références : 1 La guerre des ondes scalaires Pr Dr ing. K. Meyl ed Indel 2017 2 Neutrinopower Pr Dr ing. K Meyl ed indel 2018 3 Médecine énergétique Dr J Oshman ed Sully 2016 4 Santé et longévité Dr vet. Hervé janecek ed Trédaniel |
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