Le SWD
le SWD (Scalar Wave Device ) est destiné à produire un champ d'ondes scalaires sous faible tension de 2 volts.
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Lettre d'informations n°4 : Un traitement réunissant les outils créés par les ing. Lakhovsky, Rife et Tesla/Meyl
LE CORPS HOLOGRAMME
// lettre d'information n°4
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1 - Pourquoi apporter de l’énergie à un corps vivant via une onde porteuse ?Parce qu’il faut concentrer environ 100 fois le champ d’énergie environnant naturel, afin d’espérer relancer le métabolisme déficient d’un tissu ou d’un organe. Le corps—pour vivre tout simplement—a besoin d’énergie et plus encore, lorsqu’il en a perdu sous la forme de chaleur, lors d’inflammations aiguës ou chroniques. La question alors est : quelle est la nature de l‘onde porteuse idéale ? Pour une pénétration à très faible puissance (exprimée en milliwatts), biocompatible avec un maximum de chances de résonance directe avec un patient, la porteuse de type scalaire, c’est-à-dire une onde longitudinale électrique, est idéale. Or c’est une onde porteuse de type scalaire, donc longitudinale, que propose le SWD. Cet appareil est donc un outil capable d’apporter un quantum d’énergie assimilable et pénétrante. 2 - Pourquoi moduler avec des produits et/ou une 2ème onde, l’onde porteuse initiale ?Une huile essentielle ou bien un extrait de fleur de Bach représentent quelques 300 différentes molécules, qui ont toutes leur fréquence propre ( liée à leur configuration dans l’espace, à la longueur de la molécule). Un extrait organique de plante ou de tissu contient des molécules qui peuvent facilement entrer en résonance avec celles présentes dans un être humain ou un animal (entrer en résonance signifie « avoir un effet sur » ou bien « communiquer avec » du fait d’une proximité de structure). Donc mettre un produit naturel sur la tour de réception du SWD revient à créer une rencontre entre l’onde porteuse scalaire et les molécules présentes dans le produit : il se crée ainsi une 3ème onde résultante ou bien plusieurs ondes résultantes, dont la résonance avec le patient sera quasi-certaine. Lorsque 2 ondes se rencontrent, l’une porteuse et l’autre modulant la porteuse, l’interférence qui en résulte est l’onde de traitement : si la porteuse est fixe, reste à connaître la ou les ondes de modulation, pour définir le message transféré finalement au patient ? Cette Médecine des fréquences n’est pas « quantique » (ce qui relève de la physique des atomes et des particules subatomiques), elle est une Médecine des champs physiques qui entoure tout corps vivant (physique des champs et des ondes) ; ces champs étant influencés par les ondes externes qui le nourrissent. Par le passé, il a existé plusieurs types d’appareils connus pour apporter des ondes modulées - et donc de l’énergie directement assimilable - en particulier sur la base d’une onde porteuse longitudinale électrique ou scalaire; il y a eu le générateur de Georges Lakhovsky, celui de Royal Raymond Rife, celui d’Antoine Prioré et enfin celui du Pr Konstantin Meyl : les 3 premiers « faisant du scalaire » sans le savoir car ces ondes n’avaient pas encore été découvertes, celui du Pr Meyl, à la suite des travaux de Nikola tesla, étant par contre construit pour créer une onde scalaire véritable et vérifiable. Aujourd’hui, existent aussi de multiples autres générateurs d’ondes, mais leur onde porteuse est de type électro-magnétique ou bien électrique simple, le long d’un conducteur, ce qui fait que ni la pénétration à faible puissance, ni la résonance avec le patient, ni la conservation de l’information, ne peuvent être garanties avec des résultats donc aléatoires, c'est à dire inconstants. 3 - les types d’appareils à ondes scalaires qui ont existé ou qui existent aujourd’hui.
Concernant les générateurs à onde porteuse scalaire, les seuls qui sont intéressants du fait de leur pénétrance optimale, chaque technologie a apporté un progrès :
a—L’Oscillateur à longueurs d’ondes multiples de G. Lakhovsky possédait une onde porteuse de 0,75 MHz et créait un cocktail infini d’ondes de modulations, de par la présence d’un éclateur et aussi d’un double système de 12 antennes circulaires ; la première antenne, qui était la plus grande à l’extérieur, étant sous une tension énorme de près de 480 000 volts ! C’est cette très haute tension qui créait un champ scalaire de faible portée ; l’inconvénient étant le champ électrique très puissant et dangereux des premiers appareils. (voir photo). b—De manière différente, l’appareil de RR Rife générait aussi des ondes scalaires, car l’émetteur était un plasma (gaz sous tension) ; la porteuse était de 3,3 MHz, donc une onde radio, laquelle était envoyée à la puissance—importante—de 400 watts. Et Rife inventa une série d’environ 50 fréquences de modulations, typiques de chaque micro-organisme, dont il voulait la destruction. Son idée était de détruire les micro-organismes responsables de toutes les maladies, y compris ceux liés aux cancers (virus, mycobactéries). Le secret de l’appareil de Rife était d’une part une onde porteuse scalaire issue d’un plasma et d’autre part, des modulations très précises, de forme sinusoïde amortie, allant jusqu’à 1,6 MHz voire 3,3 MHz. Antoine Prioré avait ce même schéma d’une onde porteuse scalaire émise par un plasma, et il savait que le bon réglage de son appareil passait par des modulations précises. Avec des réglages mal adaptés, les résultats cliniques faisaient défaut. c—A la suite de Nikola Tesla, le Pr Dr ing. K. Meyl a créé—sur la base d’une électronique moderne, un générateur d’une onde scalaire porteuse de 6,78 MHz envoyée à la très faible puissance de 50 mWatts (8000 fois plus faible que celle de l’appareil de Rife) , sous une tension très faible de 2 volts, avec des modulations possibles par le son (fréquences basses de 20 à 20 kHz) ou bien par des bandes de fréquences bien plus élevées, par exemple permises par le générateur Spooky2 (de la bande son à plusieurs MHz). Il existe ainsi un logiciel gratuit sur le site www.spooky2.com qui permet de créer des séries de fréquences de modulation originales, c’est-à-dire créées comme chacun le souhaite, que l’on peut utiliser pour moduler l’onde porteuse scalaire du SWD. 4 - La synthèse de ces 3 appareils et des technologies qui y sont associées.Notre idée a été d'associer le plus possible la technologie scalaire sous 2 volts et à très faible puissance du Pr Meyl, et la modulation très riche en harmoniques issue de la technologie de Georges Lakhovsky autrefois. Ce mariage étant réalisé à l’aide du générateur d’ondes Rife de type Spooky2 modulant l’onde porteuse du SWD. Dans les années 30, Georges Lakhovsky annonçait des résultats étonnants sur les cancers de toute nature, sur la lèpre, sur la syphilis, sur l’ulcère de l’estomac, les problèmes de prostate, la sclérose en plaques, etc… Beaucoup de maladies très différentes en apparence, mais dont le point commun était l’envahissement du corps par des différents virus ou bactéries intracellulaires ; EBV et hélicobacter pour l’ulcère à l’estomac, EBV et /ou d’autres virus pour la sclérose en plaques, mycobactéries et virus encore pour les cancers, un spirochète pour la syphilis, bref, des microorganismes tous pathogènes, développant une maladie inflammatoire chronique. Pour toutes ces maladies, un seul et unique réglage a été proposé par G. Lakhovsky, créé par l’onde porteuse de 0.75 MHz d’une part et par les modulations de cette onde, dont une part importante provenait de la configuration circulaire et concentriques des 12 antennes de son appareil (voir ci-contre), entre la borne émettrice sous tension et la borne réceptrice qui ne l’était pas. Pour toutes ces maladies infectieuses, il n’y avait donc qu’un seul réglage de sa machine, qui soit utilisé par Lakhovsky ! C’était le rayonnement Lakhovsky, très riche de nombreuses ondes harmoniques de l’onde porteuse initiale, lesquelles étaient dessinées de surcroit par l’agencement si particulier des 12 antennes, qu’elles soient émettrices ou réceptrices ; et la seule variation consistait à allonger ou raccourcir les séances ou bien à les multiplier (en général 2 séances de 15 mn 2 fois par semaine seulement et ce, durant 2 à 3 mois !). A l’inverse, lorsque l’on rentre dans le logiciel Spooky édité aujourd’hui, en étudiant les fréquences de modulation attribuées à Rife et aux chercheurs qui l’ont suivi, il existe près de 6000 réglages différents ! pour toutes sortes de maladies infectieuses et/ou de syndromes. L’idée a été alors de recréer au plus près ce réglage unique « Lakhovskien », grâce au SWD et au générateur Spooky : l’hypothèse étant que ce n’est pas tant la valeur d’une fréquence de modulation qui est importante, mais plutôt les valeurs relatives d’une série de fréquences qui se succèdent les unes aux autres. Un peu comme les notes d’une symphonie musicale définissent des espaces, plus ou moins étroits, plus ou moins courts dans le temps, relatifs à certaines notes, et c’est la relativité de ces intervalles qui crée au final l’harmonie de la pièce de musique qui est jouée. Même si le logiciel spooky et son générateur—comme tous les générateurs— ne pouvaient recréer qu’une série de fréquences émises les unes à la suite des autres, toutes les 1 ou 3 minutes par exemple, il devrait être possible de recréer le réglage Lakhosky sur le SWD du Pr Meyl grâce au générateur Spooky2, conçu pour bâtir des fréquences de modulation selon l’enseignement de Rife. La base du réglage Lakhovsky étant les 12 antennes circulaires de son appareil, nous avons donc cherché à calculer les fréquences théoriques émises par ces 12 antennes en utilisant la formule classique f = c / lambda (où c est la vitesse de la lumière dans le vide et lambda la longueur de l'antenne elle-même) ; voir le tableau ci-après. Même si en réalité le cocktail émis était plus élevé en fréquence—entre 1 et 3 GigaHz selon un physicien belge spécialiste de l’OLOM— la plus haute modulation atteint déjà ici quelques 6.8 MHz ! Un point important étant le côté progressif et exponentiel—calqué sur le nombre d’or selon l’ingénieur Lakhovsky—de ces fréquences, de la plus petite de 191000 Hz jusqu’à la plus grande, au delà de 6800000 Hz…. Or en observant les séries de fréquences de modulation appartenant aux différentes bases de données de Spooky, on peut voir qu’il s’agit de fréquences allant en augmentant pour la plupart des maladies et/ou des syndromes : bactéries (E Coli, Borrelia, mycobactéries, mycoplasmes) et virus ( EBV, herpes, papillomavirus, grippe, hépatite, etc …) sont combattus par des séries de fréquences allant crescendo, y compris les cancers et nombre de parasitoses. Plusieurs troubles fonctionnels (obésité, insuffisance pancréatique, dysfonctionnement érectile, fibromyalgie, hémorroïdes, ostéoporose, asthme bronchique, etc …) sont également traités par des séries de fréquences croissantes, peu importe lesquelles à ce stade de notre réflexion. C’est seulement pour quelques types d’inflammation qu’ont été proposées des séries de fréquences décroissantes, puis à nouveau croissantes. C’est ainsi qu’après de nombreux échanges avec le traducteur français de la notice Spooky2, lui-même informaticien et électronicien—qu’il en soit ici vivement remercié—nous pouvons vous proposer un programme spécifique, créé par lui sur nos recommandations, qui va vous permettre de traiter vos patients avec une série unique de fréquences, dont la valeur est calquée sur le design des 12 antennes de Lakhovsky. (voir le tableau ci-après).
Une série de fréquences toujours crescendo, avec un intervalle calculé d’après Lakhovsky selon le nombre d’or, et dont la dernière valeur de fréquence module l’onde porteuse scalaire du SWD à plus de 6.8 MHz, soit la valeur de l’onde porteuse elle-même! (un peu comme Rife autrefois qui modulait jusqu’à 3,3 MHz, une porteuse dont la valeur était aussi à la base de 3, 3 MHz ?
Il vous suffit de suivre les étapes suivantes:
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